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Le jeune e-entrepreneur et formateur Yomi Denzel affiche des chiffres et une richesse qui pourrait paraître insolents. Le magazine Forbes lui consacre un article intitulé « d’étudiant fauché à millionnaire en un an ». Mais Denzel peut-on vraiment considérer que Yomi Denzel est un nobody ? Un self-made man ? Et même s’il ne l’était pas, n’y a-t-il aucune leçon à tirer de son parcours ?
Retraçons un peu l’histoire de ce personnage au parcours atypique.
Yomi Denzel l’enfant modèle ?
Né en 1998, Yomi Denzel est né en Suisse, à Lausanne. Né dans une famille peu fortunée, son parcours à ensuite tout d’un cursus honorum des plus classiques pour une success-story : bon élève à l’école, service militaire en tant que sergent dans l’armée suisse, puis, il intègre HEC Lausanne, dans le but de devenir entrepreneur. Il n’a pas intégré la prestigieuse école avec l’intention de perdre son temps, puisqu’il fait partie des meilleurs élèves de sa promotion, et réalise même un échange à Harvard. On vous avait prévenu : un parcours modèle !
Évidemment, c’est à ce moment que l’histoire doit prendre un tournant nouveau. Et Yomi sent que tout ce qu’on lui enseigne à HEC n’est pas d’une grande aide pour créer un business concret, et être entrepreneur. Il faut savoir que Yomi tient ce goût de l’initiative individuelle (et de la transmission aux autres) de loin, puisque dès ses 14 ans, le jeune garçon avait ouvert une chaîne Youtube sur laquelle il partageait ses meilleurs moments de jeu sur Call of Duty.
À HEC, il a néanmoins eu l’opportunité de faire un stage chez Nesle, dont il est inutile de présenter l’importance économique et le prestige. Cette première expérience professionnelle est pour lui un déclic : fuir la pauvreté, c’est bien, mais être libre et ne pas subir le métro-boulot-dodo, c’est encore mieux.
Le premier pas
En janvier 2017, alors qu’il est encore sur les bancs d’HEC Lausanne, il décide de se renseigner sur les possibilités du business en ligne, il lance sa première agence de marketing digital, centrée autour de la promotion des bars, restaurants et boîtes de nuit. En un mois, il génère 3000 francs suisses (environ 2800 euros). Mais pour cette première expérience, Denzel travaille avec ses clients en face-à-face, et il sait qu’en continuant ainsi, ses revenus seront fatalement plafonnés par la quantité de temps qu’il peut consacrer à son business.
Alors il décide d’automatiser son business. Vendre son temps, c’est bien pour se lancer, mais il n’attend pas bien longtemps pour tout commencer à travailler sur une structure qui pourrait vendre des produits toute seule.
Yomi Denzel et le dropshipping
Yomi Denzel martèle que le jour qui a changé sa vie, c’est le 1er octobre 2017. Ce jour-là, il lance sa première boutique de drop shipping. Pour rappel, le jeune entrepreneur est toujours à HEC, et une grande partie de son entourage lui dit de se concentrer sur ses études. Qu’à cela ne tienne, sa première boutique de Dropshipping affiche un chiffre d’affaires de 800 € le premier mois. Ces chiffres vont augmenter peu à peu, ce qui apporte à Yomi sa petite notoriété dans le monde du Dropshipping.
Les questions et les demandes de conseil pleuvent. Évidemment, même si au début, Yomi trouve normal de répondre au cas par cas, il est vite submergé par toutes ces sollicitations. Plutôt que de se fermer et de tout ignorer, il décide d’ouvrir une chaîne YouTube. Cette chaîne, Yomi Denzel, compte aujourd’hui 461 000 abonnés au compteur, et a toujours eu une seule ligne directrice : être la tribune de Yomi pour dispenser ses conseils sur l’entreprenariat et plus particulièrement sur le dropshipping.
Au-delà de ses vidéos dédiées au dropshipping, la chaîne de Yomi propose aussi des vidéos sur la productivité, sur les pièges à éviter dans le business, ou tout simplement sur son train de vie. Pour un coach business, on pourrait dire que ces thématiques ne brillent pas par leur originalité, car la spécialité du coach, pendant toutes ces années, reste le dropshipping, et ce fut le sujet de ses formations pendant longtemps. Il propose d’ailleurs toujours une formation gratuite au dropshipping en 30 jours.
Le virage à 90 degrés
Une croisière dorée, qui finit par avoir un goût de calme plat. Dans une vidéo du 5 avril 2021, Yomi Denzel révèle le pot aux roses à son public : le dropshipping ne l’intéresse plus. Dans cette vidéo, il dit avoir fermé plusieurs de ses meilleurs sites du jour au lendemain. Un ras-le-bol de la routine (qui avait certainement un arrière-goût de stage chez Nesle) et surtout, une nouvelle ambition.
Après avoir consacré quatre années de sa vie aux boutiques de dropshipping, Yomi a pris la décision de passer à l’étape supérieure, de ne plus seulement chercher la richesse, mais l’accomplissement personnel, en créant ses propres marques. Il veut vendre ses propres produits, et plus ceux des autres. Sa nouvelle voie est donc celle du e-commerce.
Avec ses ressources et ses compétences, il y a fort à parier que son nouveau projet réussira pour lui. Mais qu’en est-il de la pédagogie ? Yomi Denzel n’a pas mis ses capacités de transmission en jachère, puisqu’il a créé une nouvelle formation sur le sujet du e-commerce : Ecom Pro
Conclusion : doit on garder ce point d’interrogation ?
Sur internet, l’image de self made man de Yomi Denzel est fréquemment remise en cause, parce que l’on s’arrête au nom prestigieux d’HEC Lausanne, où il a fait ses études. Or, c’est justement l’étape de sa vie qui définit le moins son parcours. Les étapes les plus formatrices de sa vie, et qui font de lui le millionnaire qu’il est aujourd’hui sont son enfance difficile, sa décision de créer son business en parallèle de ses études, et son éternelle capacité à partager ce qu’il fait avec un large public.